18 juin 2010

La passion

C'est toujours agréable de se faire dire : "oui oui, je me souviens, c'est d'ailleurs grâce à toi que j'ai vraiment arrêté mon choix sur la traduction comme carrière". (La nouvelle au bureau à qui j'ai jasé de traduction il y a un peu plus de trois ans parce que nous avions un ami commun)

3 commentaires:

  1. Parlant de traduction, j'ai fait plus de recherche sur les programmes offerts dans les universités québécoises. Je pourrais aller à la maîtrise professionnelle à l'Université Laval, ou faire un diplôme d'études supérieures spécialisées (1 an) puis une maîtrise à l'Université de Montréal. Connais-tu les programmes? (Ou quelqu'un qui les connait?)

    C'est vraiment tentant d'aller directement aux études supérieures plutôt que de faire un deuxième bacc après ma maîtrise en Lettres...

    RépondreSupprimer
  2. C'est drôle, je viens juste de te demander comment ton examen avait été sur ton blog!

    Par expérience, je sais que l'Université Laval est très réputée en traduction, mais bon je prêche pour ma paroisse. Au bac, en général, les nouveaux traducteurs de l'ULaval (au bac) qu'on reçoit au bureau sont mieux formés.

    En traduction, ce qui importe c'est la formation de base. Je n'ai pas beaucoup d'expérience dans la recherche d'emploi comme j'ai eu une offre à ma dernière session d'université, mais je sais que pour l'instant, au gouvernement, à moins que tu sois spécialisée dans un domaine technique comme le droit ou l'aéronautique, ça te prend un bac, c'est une condition d'embauche. Je ne sais pas quelles sont les exigences ailleurs, autre que l'expérience.

    La maîtrise est beaucoup plus axée sur la théorie que sur la pratique. La traduction, c'est surtout une question d'expérience.

    Je suis toujours partante pour ce café si tu veux en jaser :-)

    RépondreSupprimer
  3. Un café ça serait bien. Si tu veux, tu peux m'envoyer un courriel à bertheldeed@gmail.com et on se planifiera ça!

    RépondreSupprimer